Comme Mahler, Schumann , Chopin, Rachmaninov subissait des crises de sa maladie, entraînant son humeur cycliquement du nadir au zénith, des ténèbres à la lumière.
Le troisième mouvement du concerto pour piano no 2 en do mineur op. 18 exprime la joie de vivre recouvrée, tel le sphinx, Sergueï Rachmaninov, renaît de ses cendres...
Le Phénix
La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un coeur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie à se partager.
Paul Eluard
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