Opéra Eugène Onéguine de Tchaikovsky ''
Quand vint pour Onéguine l’époque des orages de la jeunesse, des espérances immodérées et des tendres rêveries, M. l’abbé fut congédié ! Voilà mon Onéguine libre comme l’air. Les cheveux coupés à la dernière mode, habillé comme un dandy de Londres, il fit dans le monde son entrée. Il parlait et écrivait fort bien le français, dansait correctement la mazourka, et saluait avec grâce. Que faut-il de plus ? Le monde décida qu’il était charmant et plein d’esprit.''
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Alexandre Pouchkine
Quand vint pour Onéguine l’époque des orages de la jeunesse, des espérances immodérées et des tendres rêveries, M. l’abbé fut congédié ! Voilà mon Onéguine libre comme l’air. Les cheveux coupés à la dernière mode, habillé comme un dandy de Londres, il fit dans le monde son entrée. Il parlait et écrivait fort bien le français, dansait correctement la mazourka, et saluait avec grâce. Que faut-il de plus ? Le monde décida qu’il était charmant et plein d’esprit.''
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Alexandre Pouchkine
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C'est ce roman de Pouchkine qui inspira l'opéra Eugène Onéguine, opéra en trois actes de Tchaikovsky.
Et, dont voici, un extrait du troisième acte intitulé la Polonaise, dirigé dans cette interprétation par l'immense chef d'orchestre Claudio Abbado ( 26 juin 1933 et décédé le 20 janvier 2014 ).
C'est ce roman de Pouchkine qui inspira l'opéra Eugène Onéguine, opéra en trois actes de Tchaikovsky.
Et, dont voici, un extrait du troisième acte intitulé la Polonaise, dirigé dans cette interprétation par l'immense chef d'orchestre Claudio Abbado ( 26 juin 1933 et décédé le 20 janvier 2014 ).
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