Edvard Grieg | Suite lyrique op. 54 | Nocturne | Guillaume Apollinaire


Nocturne 

Le ciel nocturne et bas s'éblouit de la ville 
Et mon cœur bat d'amour à l'unisson des vies 
Qui animent la ville au-dessous des grands cieux 
Et l'allument le soir sans étonner nos yeux 
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Les rues ont ébloui le ciel de leurs lumières 
Et l'esprit éternel n'est que par la matière 
Et l'amour est humain et ne vit qu'en nos vies 
L'amour cet éternel qui meurt inassouvi 

Guillaume Apollinaire
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4e Suite lyrique- Nocturne 
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